Notre méthodologie d’intervention

Notre méthodologie est basée sur une démarche participative et située. Elle est construite en différentes phases pour lesquelles des techniques de recueil de données et d’analyse sont employées en fonction du terrain et des objectifs de l’intervention. L’objectif est d’aboutir à des préconisations adaptées et pérennes.

1. Analyse de l’activité

Après la reformulation de la demande, nous recueillons et objectivons des données concernant l’activité réelle du terrain. Nous souhaitons obtenir des données objectives. C’est pourquoi nous pouvons avoir recours à des relevés de cardiofréquencemétrie ou d’EMG en fonction des besoins. Au préalable, il nous semble crucial d’avoir été présenté à toutes les parties concernées. De fait, notre démarche est participative et située.

2. Traitement des données

En partant de veilles bibliographiques (INRS, AFNOR, ANACT, IRSST, SELF, EU-OSHA…) et des données recueillies, nous identifions les déterminants de l’activité, dans une approche systémique. L’objectif est de comprendre les situations et de faire émerger les freins et les leviers d’action.

3. Restitution au comité de pilotage

Nous présentons nos résultats d’analyse et nos hypothèses de préconisations :

  • Présentation d’exemples similaires (benchmark, maquettes, personae, plans intermédiaires…),

  • Scénarios de mobilisation des acteurs de l’activité,

  • Simulations de planning d’action.

4. Groupe de travail et projections

Mise en œuvre des différentes pistes simulées d’améliorations et principes de projections : Workflows, mindmaps et blueprints, maquettes sur plan ou numériques. Si nécessaire, évolutions d’échelles de maquettage…

5. Tests utilisateurs et adaptations

Tests Utilisateurs, maquettage, jeu de différents scénarios retenus par les utilisateurs et opérateurs. Si besoin, des boucles itératives vers la partie 4 sont possibles.

6. Transformation de la situation de travail

Suivi des modifications du projet dans l’entreprise, et accompagnement au changement. Les projets s’inscrivent toujours dans l’évolution de la culture des entreprises apprenantes.

7. Bilans intermédiaires

Les bilans intermédiaires permettent de consolider les principes mis en place dans objectif de pérenniser le projet. La fréquence est déterminée lors de la partie 3 (comité de pilotage). Les bilans intermédiaires peuvent renvoyer à la partie 4 (groupe de travail).

8. Conclusion

Les bilans finaux sont exposés aux différents comités (COPIL, CODIR, C2SCT, Conseils régionaux, AG d’associations, etc.). S’ensuivent, par exemple, l’inaugurations des locaux, les lancements marketing des produits, les publications de nos résultats (Danone, Air France, SMACL…)

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